L'eau, ca tue.

Une station de radio de Sacramento en Californie a licencié dix employés de son émission matinale après la mort d'une auditrice, Jennifer Lea Strange, 28 ans, à la suite d'un concours d'absorption d'eau.

Mme Strange était l'un des 18 participants venus tenter de gagner une console Wii de Nintendo. Les concurrents devaient ingérer autant d'eau que possible et tenir le plus longtemps possible sans aller se soulager aux toilettes. Ce concours avait été baptisé Hold your Wee for a Wii, littéralement «retiens ton pipi pour une Wii». Mme Strange pourrait avoir avalé 7.5 litres d'eau.

Intoxication par l'eau
Une autopsie préliminaire a permis de déterminer qu'elle était morte par intoxication par l'eau. Boire une grande quantité d'eau peut entraîner un désiquilibre des fonctions vitales et un gonflement cérébral qui peut à son tour conduire au coma ou à la mort.

Tiré du quotidien gratuit Métro Montréal.

Et moi qui ai toujours refusé de boire de l'eau parce que je rouillais... Me voilà résolu à Vraiment ne jamais en ingérer de ma vie oO"

Super Bolle MCLLXVIII

1 des 5 finalistes des publicités Doritos pour le super bowl, mon préféré. Ils ont tous été fait par du monde ordinaire (des États-Uniens habitués de YouTube), donc sans budget. Have fun!

Si vous voulez voir les autres: www.crashthesuperbowl.com

Noël en Béton, c'est con.

Blah. Voilà le seul mot qui me venait en tête le matin du 24, rien de blanc en vue, même le capot de la voiture d'en face étant terni par la saleté des derniers jours.

Encore pis fût l'épisode du 25, alors que je découvris un jour si hautement reconnu pour la pureté de l'eau gelée environnant tout notre extérieur. Franchement, même pour un événement auquel je prends à peine le temps de penser (car je n'ai que rarement célébré ces fêtes), je trouvais le tout déprimant.

Au moins suis-je content de voir le tapis blanc autour de notre propriété, depuis le Boxing Day dernier.

Well, anyways. Sur une touche un peu moins sérieuse, j'ai à peine le temps de visiter le pc. Donc les recettes viendront début janvier, MAIS, toujours avant la galette des rois; je ne trahirais jamais la confiance du Rex Canadensis, voyons!

Quoique.... *Grins*

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Je déclare, à 1h39 d'avance, le mois de décembre comme étant un mois où je consacrerai la majorité de mes billets au lieu d'être principal de cet espace: la goumandise. En effet, le temps des fêtes approchant, nous en arrivons à une période très.. cochon.. en matière de nutrition.

Les exceptions à cette déclaration seront uniquement ce que je ressentirai le besoin d'exprimer sur cet espace. D'ailleurs, je songe à en créer un nouvel afin de séparer certains sujets.. Cela reste à voir.

Sur ce, *explose dans une déflagration des plus ridicules*

Ah, l'authorité!

Au retour de plus d'une semaine de silence sur le net, je me vois forcé de poster un billet quant à un autre drame surevnu au sud lundi.
Allez visiter un peu ceci pour mieux comprendre.

Dans un autre bulletin de nouvelle (Journal Metro Montréal), nous pouvions lire le commentaire de Mr. Bloomberg, que je rapporte ici:
[...] les authorités policières semblent avoir fait preuve d'un usage abusif de leurs droits [...]

La phrase est très mal rapportée, mais la partie en gras était, Sans le moindre doute, celui employé dans le journal de mardi.

Après avoir lu l'article, je n'ai pu m'empêcher de m'esclaffer. La figure de cadre des Etats est si risible que je commence, lentement, à prendre des nouvelles aussi frapantes avec un certain sourire en coin, bien que je trouve le genre d'événements des plus ignobles. La situation ne pouvait mieux caricaturer comment la nation est rendue basse et sans grande valeur.

C'est tout simplement déprimant..

Québec, Je me souviens.

J'écris ce billet en mémoire de l'armistice, le 11 novembre 1918.
S'il est vrai que nous inventons tout plein de conneries qui ne valent pas la peine de se comémorer, il est aussi vrai que certains événements de taille méritent, même après plusieurs générations, une part d'attention. En ce 88e Jour du souvenir, je vous demanderai de prendre une pause dans vos actions quotidiennes, afin d'afficher ne serait-ce qu'une infime part de respect envers des gens qui se battaient, à l'époque, pour leurs idéaux, sans jamais oser regarder vers l'arrière, car ils y croyaient vraiment.

A tous, bonne fin de semaine.
Avec respect, Altamarr.

J'ai Honte.

Oui. Aujourd'hui deux novembre, j'ai honte. Et pour une raison stupide, vraiment. J'ai fait une terrible chose en ce jour, du moins, selon les regards accusateurs de mes contemporrains. J'ai... mangé. Eh oui. Vous êtes-vous déjà retrouvé dans un endroit confiné, tôt le matin, entouré de n'importe qui voyageant non loin de vous, votre environnement bondé de gens plus humains que ceux avec qui vous traitez habituellement? Vous ouvrez votre sac, confortablement assis, ressortez un plus petit sac (ou, dans mon cas, une boite), l'ouvrez, et portez un simple petit objet à votre bouche.... Et la, tout de suite, tout le monde porte un regard sur vous, comme si vous executiez la plus tabou des actes jamais exécutées en ce monde, un regard plein de reproches, comme si vous étiez le(la) seul(e) a avoir pensé à ce moyen de se sustenter, comme si les autres n'avaient rien mangé pendant dix jours, ne se nourrissant que dans le bien être de leur chez eux, à la limite dans la cafétéria de leur boulot..

Je n'y aurais jamais cru, à ce phénomène, jusqu'à ce que je remarque la chose, aujourd'hui, tout en déjeunant sur la route de mon emploi. Au courant de toute la journée, j'y ai réfléchi, à cette honte, et me suis rendu compte qu'à presque toutes les fois où j'ai perpétré le terrible péché que de remplir mon estomac en plein public, je me faisais scruter du regard, comme si l'on sondait mon fond de pensée.. Cette expérience m'a apporté une terrible leçon..

..La prochaine fois, j'apporte le repas le plus complet qui m'est possible d'avoir afin de le déguster en public, voila. Bien fait.

Du temps du VHS...

Vous souvenez-vous? Lorsque vous étiez gosse, au siècle dernier, et que vous écoutiez encore et encore les même dix films que vous aviez enregistré sur votre vidéoscope? Que vous vouliez vous coucher 30 minutes plus tard le soir parce que c'était le moment tragique du meilleur film de Disney de l'époque? Et que vous pètiez une crise chaque fois que le VHS se coinçait dans le vidéo qui en gobait la bande magnétique?

Que de beaux souvenirs, non?
Et que penseriez-vous en réécoutant ces mêmes dix classiques aujourd'hui? Certains vous allumeraient encore une flamme au coeur, et d'autres seraient sûrement dans le fond de votre sac à vidanges..

Et bien, restant cette semaine dans le domaine des arts doués d'une part sonore (soit la musique et le cinéma), je vous invite a vous remémorer de vos vieilles trouvailles qui traînaient encore dans le fin fond de votre tirroir, et a les commenter ici même.

Quant à moi, dans mes vieux films de jeunot se cachaient encore dernièrement Labyrinth, ce qui m'a donné l'idée de ce billet, et aussi ce qui m'a remémoré d'autres oeuvres telles que:
Richie Rich
Hook (Soit: La revanche du Capitaine Crochet)
Jack
Spaceballs
Mario Bros
Robin des Bois: Héros en collants
Maman J'ai Raté l'Avion 1 et 2
Le Roi Lion

Bien sûr, il y en a plein d'autres, mais ce sont ceux là qui me viennent en tête en ce moment.
Pour ma part, ce sont Richie Rich, et Mario Bros qui furent les premiers à prendre le bord..

Laurent Paquin <3

Ton grand papa n'est plus la,
On t'as dit qu'il ne reviendrait pas...
On t'a dit qu'il est parti,
Dans un monde bien plus beau qu'ici...
Mais ton grand papa....
est MOOORT MOOORT MOOORT MOOORT, MOOORT MOOORT MOOORT MOOOOOORT!!!

Papa et maman c'est fini,
Ils ne dorment plus dans le meme lit.
Les deux disent qu'ils t'aiment quand même,
Et qu'il n'y a pas de problèmes...
Mais ta maman est...
LESBIEEENE LESBIEEENE, LESBIEEENE LESBIEEEEEENE!

Ton grand frère à les yeux rouges,
Tu fais le saut chaque fois qu'il bouge...
On te dit qu'c'est l'adolescence,
Qu'il cherche pour sa vie un sens...
Mais ton grand frere est....
un DROOOGUE DROOOGUE, DROOOGUE DROOOOOOGUE

©Laurent Paquin

Toujours dans le domaine de la musique: Je commence à sérieusement penser à m'acheter un saxophone ténor avant le mois de janvier D:

Lors d'une journée bien ordinaire..

Il se tenait là, arborant presque fièrement les couleurs de l'entreprise, comme à son habitude lors des journées de labeur. De taille moyenne, d'aspect moins athlétique que la moyenne, le jeune homme savait tout de même bien faire son boulot. La journée s'annonçait comme toutes les autres où il pleuvait: morne et épuisante de par son ennui des plus total.
C'est alors qu'il arrivât.
Petit, trapu, vieux mais sans pourtant avoir l'air d'un sage, l'homme entra dans le bâtiment. Il se dirigea presque instinctivement vers l'employé, premier de l'équipe à lui avoir lancé une moindre salutation. Sans même daigner répondre, il s'exprima des moins clairement:

"S'combien changer 'rayon? Ah laisse faire va en pogner y'en qu'un."

L'employé, fidèle à son devoir, prend le temps de bien connaître quel produit il va lui vendre exactement, selon les procédures normales à suivre.

"Monsieur, avez vous connaissance de la longueur exacte du rayon que vous voulez? Je ne peux pas le mesurer à même la roue que vous avez dans votre main, il me faudrait une idée de la longueur en millimètres de vos rayons pour vous en vendre un compatible."
"J'ai 'ne roue 26 pouces, passe moi le rayon ya jusse ca j'veux!"
"Oui mais comme je vous le dis, j'ai besoin de la longueur de rayon que vous désirez, pour ne pas vous vendre n'importe quoi."
"Cibwêre s'peut tu des incompétants d'même! L'service â ben changé a'ec l'temps."

Après maintes tentatives de résonner avec toute la patience que le monde lui avait légué, le pauvre vendeur, exténué de son entretien avec le client à qui, somme toute, manquait une ou deux cases, se retourna pour continuer la précédente tâche qu'il s'efforçait d'accomplir, soit la vérification d'un nouveau vélo venu. Le client vit donc son interlocuteur se désinteresser de lui, lui laissant voir à ce moment le dos de chandail de l'employé, sur lequel on pouvait clairement lire:

"EN FORMATION"

L'espace de trois à quatre secondes, le plaignant, dur de comprenure, avait pourtant saisi le message subtil de cette action: on ne le revit plus jamais dans la boutique.

Quant au docile employé, jamais plus il ne lança le titre qu'il eût inventé à peine une semaine auparavant assujetant les nouveaux chandails:
"SOS Vélo, ou l'art de rabaisser les employés."

Tiré d'une histoire vraie, survenue en ce jour même..